Home > Blog > Arnaques sur Internet : entre astuces et méfiance
Bien qu’il soit utile, bien qu’il soit profitable, ou même un partenaire des plus fidèles, le monde d’internet regorge d’arnaques et d’escrocs qui ne sont pas toujours évitables. En revanche, il est toujours quelques éléments qui permettent de les éviter, de s’en éloigner, et surtout de ne plus se faire avoir. L’un des principaux moteurs qui fassent tourner la machine du web, ce sont les contributeurs. Alors pourquoi pas ne s’appuyer sur les avis qu’ils vous offrent, sur un plateau, afin d’éviter les escrocs du e-commerce ? Et pourquoi ne pas se servir non plus des guides d’experts, autour des casinos et jeux d’argent, ou même dans bien d’autres catégories, pour ne plus tomber dans des pièges évitables ? C’est notre boîte à outils à nous, et rapidement, vous l’adopterez aussi.
C’était une habitude scrutée de nombreux consommateurs dans le domaine du e-commerce, ou encore parieur, dès lors qu’une transaction bancaire était réalisée. Mais désormais, selon la nouvelle politique instaurée par Google, tous les sites qui ne présenteront plus ce sigle HTTPS, ne pourront plus être référencés par le moteur de recherche le plus utilisé au monde. Cette annonce a fait grand bruit en juillet 2018, et le service a promis de pénaliser tous les sites qui n’apporteront plus cette référence. Car le sigle de sécurité n’est pas simplement en lien avec les informations bancaires que vous pourriez renseigner. C’est aussi un indicateur qui permet aux internautes de prendre en note que leurs informations personnelles seront sous bonne garde, et que les plateformes se doivent à leur tour de vous formuler la politique des cookies, une boîte à outils qui permet de récupérer l’ensemble des données de navigation, dès lors que le visiteur apporte sa signature numérique avec un simple « J’accepte ».
Mais cette nouvelle modalité, c’est aussi un peu le serpent qui se mord la queue. Car par cette nouvelle annonce, et cette obligation, les internautes ne font plus forcément attention au sigle, ou a contrario davantage, pour en oublier tout le reste. La mention HTTPS des pages renseignées par Google ne vous protègera pas de tout. Bien au contraire même. Il suffit de regarder la politique des cookies, tous les sites vous en informent, toutes les pages vous demandent votre signature numérique, et si jamais vous veniez à refuser cette dernière, avec la toute petite mention grisée « refuser », vous êtes renvoyé au point de départ. Ainsi, tout le monde doit s’y plier, que ce soit les commerçants en ligne ou site d’informations, mais également les internautes, en oubliant parfois l’essentiel, c’est que Google reste gagnant bien plus qu’avant avec cette nouvelle restriction.
Sur internet, vous pouvez échanger des avis, des services, et profiter de bon nombres de jeux d’argent. Les casinos en ligne sont de plus en plus nombreux, accessibles depuis la France, et offrant, comme le dit la promotion, une fortune inouïe. Mais l’arnaque n’est jamais très loin, et ne jouez pas à ces casinos en ligne qui ne chercheront qu’à prendre votre argent, par des bonus mirobolants, et sans jamais vous permettre de repartir gagnant. Ainsi, dans ce cas très précis, le sigle HTTPS mentionné précédemment ne servira pas à grand-chose, surtout si vous ne prenez pas garde aux critères essentiels de légalité et de fiabilité.
Afin de vous faciliter la tâche, il est plusieurs outils sur internet qui vous préserveront des sites frauduleux, et de filtrer le vrai du faux. À commencer notamment par la licence de jeu. Si bien souvent, c’est l’ARJEL (Autorité de Régulation des Jeux En Ligne) qui sera mentionnée, comme sur les services de la Française Des Jeux (FDJ) ou même dans le cadre des paris sportifs, pour profiter des machines à sous, ce sont d’autres références utiles et légales qui sont à considérer. Le cas du Curaçao est le plus souvent représenté, sur bon nombre de casinos, mais il est vrai qu’il n’est pas toujours une garantie contre tous les risques. Ce cas de figure sera identique si le sigle « UK Gambling » ou encore une licence émanant de Malte venait à être prononcée.
Alors, bien que la licence soit un motif de légalité, elle n’aura que peu de crédit pour les parieurs, surtout si le document n’est pas présenté de manière totalement transparente, et surtout sans offrir aux utilisateurs et simples visiteurs une date de validité. Quant à la question de la rentabilité sur les machines à sous et autres algorithmes de hasard, le Générateur de Nombres Aléatoires annoncera le plus usuellement un taux de retour de l’ordre de 95%, en adéquation avec l’ensemble des mises enregistrées. Mais une fois, ce critère ne pourra être valide que s’il est avéré que l’organisme auditeur de ce logiciel soit bel et bien externe à la compagnie fondatrice même du casino en ligne.
Ainsi, un casino des plus fiables sur internet devra présenter de nombreux critères, et ceux-ci seront également à compléter avec un système de sécurité, dans le cadre des transactions bancaires, comme le préconise le protocole SSL 128-bits. Mais l’un des tous meilleurs indicateurs pour votre réussite aux machines à sous sur internet, et un plaisir du jeu sans fin, ce sera l’avis des joueurs. Seule leur contribution aura une valeur des plus fiables, certains n’hésitant pas à témoigner de leurs mésaventures, des arnaques qu’ils aient pu subir, et surtout des défauts de paiements auxquels ils auraient pu faire face.
Plusieurs cas de figure sont enregistrés notamment par l’Arjel, ainsi que d’autres autorités européennes, et où les plaintes affluent de toutes parts, tous les jours, mais sans véritable recours possible, car les organismes de ces casinos sont comme des fantômes, disparaissant et réapparaissant aussitôt, quelques mois plus tard, sous un tout autre visage. Cependant, il faut bien souligner que bon nombre de casinos accessibles sur internet ou même sur vos smartphones sont des plus légaux, fiables, et authentifiés, assurant une vraie partie plaisir, une belle découverte du monde du jeu, et assurant de jolis profits et jackpots, comme dans les établissements terrestres pour les jeux de hasard.
La plus grosse arnaque sur internet se présente souvent sous un visage des plus profitables. C’est comme le diable, si vous en avez une image de démon, orné de ses cornes rouges, il peut tout aussi prendre l’apparence d’une femme ou d’un homme aux atouts les plus séduisants, aux goûts de chacun. Ainsi, le e-commerce comme les sites de casinos, en profitant de la politique des cookies, que vous acceptez tous par défaut, de nombreuses promotions affluent par voie de mails, de SMS, d’appels téléphoniques, ou simplement de publicités un peu parasites à chacune de vos navigations. Autour des jeux d’argent, le principal attrait reste encore les bonus soumis. Si les casinos fiables vous promettront parfois des crédits à hauteur de 100€ ou 200€ en l’échange d’une première mise ou d’un premier pari sportif du même montant, et remboursé, pour les plateformes véreuses, l’apparence prendra cette fois des sommes absolument folles, allant jusqu’à 1 500€ de crédits offerts à votre inscription. Et finalement, nous nous rendons compte assez vite que plus c’est gros, que plus c’est beau, plus le poisson mort à l’appât.
Ce constat d’arnaques par les promotions s’applique également dans le e-commerce, notamment lors des périodes de soldes. Les marques les plus éminentes vous annoncent des promotions et réductions de prix de l’ordre de 50%, voire 70% sur certains produits. Et si encore une fois, cela peut sembler beau, profitable, et mettre son argent à bon escient, dans un produit dont nous n’avons aucune utilité, mais dès lors que nous souhaiterions l’acheter, il retrouvera son prix initial, sachez que tout ceci est une vaste escroquerie.
Plusieurs associations se plaçant du côté des consommateurs ont révélé l’entourloupe il y a de cela quelques semaines. En effet, dans la pratique, il existe bel et bien une promotion et réduction de l’ordre de 70% sur un produit donné. Mais qu’en est-il du prix initial. Les consommateurs en oublient presque l’essentiel dans ce cas, à savoir la bonne estimation préalable d’un produit ou d’un service. Et aujourd’hui, nos utilisateurs n’en sont plus dupes, les bonnes affaires n’existent que très rarement, et c’est pourquoi la période des soldes tend à durer plus longtemps, car c’est surtout la plateforme du e-commerce qui y trouve son compte, plutôt que le consommateur en lui-même.
C’est sans doute l’une des plus importantes arnaques qui existent sur internet. Le phishing, ou dénommé hameçonnage dans la langue française, est cette pratique de vous attirer dans un coin sombre du net, ou même de s’incruster dans votre intérieur, une simple image pour désigner votre boîte mail, et de vous faire cliquer. Simplement cliquer pour récupérer toutes vos données, sans que vous en preniez conscience. Ce cas a été dernièrement constaté par l’annonce de l’impôt sur le revenu en France. Le prélèvement à la source a suscité de nombreuses interrogations chez les salariés comme les actifs indépendants, et le gouvernement a parfaitement communiqué en ce sens, notamment en vous envoyant tout un descriptif de la mesure, et de son application, sur votre boîte mail.
Une véritable aubaine pour tous les hackers du net. En se faisant simplement passer par le gouvernement, ou le service des impôts, il tente par tous les moyens de vous attirer dans les mailles de leurs filets. Vous pensez tomber sur une source de confiance, vous cliquez, et là, il est déjà trop tard. La meilleure astuce pour éviter tout ceci, c’est encore une fois de vous renseigner sur les sites répertoriant les arnaques par mail, comme pour les numéros de téléphone, et de vous éviter bien des soucis. Les avis d’utilisateurs vous renseigneront sur les noms de domaines, ou encore mention, qui pourraient vous mettre la puce à l’oreille. Une écriture suspecte, une ponctuation trop prononcée, ou une offre à laquelle vous n’avez absolument rien demandé, tous ces modèles qui ne cherchent qu’à s’emparer de vos informations et de vos données bancaires, et vous sentir cette fois piégée dans les limbes d’internet. Il est plusieurs recours qui vous seront proposés, comme le dépôt de plainte directement auprès de la CNIL (Commission Nationale de l’Informatique et des Libertés). Mais il est toujours difficile, même pour ces services spécialisés, de remonter la trace des hackers qui vous ont arnaqué, et ainsi de récupérer vos données ou votre argent.
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